CUNEO, Églises Saint Sebastiano
Histoire
Une manifestation premier du culte de Saint Sebastiano se concrétisa en Cuneo avec la délibération du Conseil Communal (1431, qu'il porta à la construction d'une chapelle à la plante circulaire située dans au début de la d'aujourd'hui corse Nice.
Car la petite eglise venait se trouver des murailles dehors, on avertit la nécessité de créer dans le coeur de la ville un endroit de dévotion au Saint, particulièrement invoqué dans les épidémies de peste.
Le nouveau siège est dans le vieux petite eglise de Saint Giacomo, confrérie était allée en les éteignant, beaucoup d'à comporter la donation en 1481 du vieil hôpital à la confrérie florissante S. Croix. Il se renouvela ainsi l'oratoire sous le titre de S. Giacomo et Saint Sebastiano. L'intérieur fut peint à fresco avec l'histoire du Martyre de Saint Sebastiano et le façade il eut une peinture représentée, aux côtés du Crucifix, les deux saints historiques, Sebastiano et Giacomo et deux nouveaux dominicain saints, Saint Vincenzo Ferrer et Sainte Caterina de Sienne.
Les événements de guerre de 1557 furent désastreux pour l'église de la Confrérie, beaucoup d'à imposer la reconstruction.
Vous commença par le choeur, oeuvre de la grande Fontaine et Escalier (1595, pour puis passer à la salle et au façade (1621,: la nouvelle église fut consacrée en le1625. En 1626 il se plaça la pelle sur l'altar le plus grand, oeuvre de G. A. Plus tard Molineri depuis Savigliano que deux ans peignit à fresco, et il signa, les quatre Évangélistes dans les panaches du dôme. Deux documents, 1629 et1632, relatifs à l'acquisition de l'organe et à la facture du clocher, ils citent la "Compagnie Saint Sebastiano et Sainte Vierge Très sainte du Carmine", en témoignant donc arrivée introduction le de cette nouvelle dévotion, toujours vigente.
Il se rendue bien bientôt nécessaire d'agrandir la salle de l'oratoire jusqu'à porter (1663, le façade au fil rue, actuel Quartier Mondovì. En 1730 on construisit la nouvelle sacristie et la salle située au-dessus du Conseil et l'anus suivant aussi le choeur il fut agrandi, en réalisant les deux nicchioni latéraux. Du 1736 au 1754 presbytère et choeur ils furent objet de travaux importants: pour le nouvel autel, projeté par le Nolfi, on voulut l'approbation de F. Coq (1736, et les meilleurs artistes locaux du moment furent engagés pour travaux d'embellissement: Cipriano Beltramelli pour les mastics de l'autel même, le quadraturista Pour Antonio Puits et le modéliste Alessandro Trône pour la décoration de la fois. Pour dernier, elle fut posée la nouvelle balustrade en marbres polychromes et, grâce à l'oeuvre du "maître de bois" Antonio Drocco s'adapta, en les agrandissant les bancs en bois du choeur. Les structures du presbytère et choeur actuel sont encore celles qui résultent à la fermeture du chantier en le1754.
La nef a par contre été refaite entièrement au XIX siècle: entre le 1830 et le 1844 elles furent défoncées les murs latéraux pour obtenir les deux chapelles de Sant'Anna et du Carmine; la structure de maçonnerie vint surélevée pour s'adapter aux dimensions du choeur et, sur projet de l'architecte Rovere, la salle fut dotée de dôme, peinte à fresco par le peintre Giuseppe Toselli de Peveragno. Le façade, de goût néoclassique comme la salle, sur projet de l'arch. F. De Matteis fut accompli, dans la partie inférieure, en 1844, et achevée en le1889. Finalement en 1899 l'ing. Ponzo construisit le nouveau clocher, néogothique.
Depuis 2001 un grand travail de recouvrement du complexe entier est en cours en vue du musée diocésain ouvert au public en le2012.
Façade
Quatre en Corinthiennes rencontrent le portail, sur les panneaux en bois elles sont répétées les flèches, symbole du Saint titulaire, et ils soutiennent une corniche robuste sur laquelle il se développe un second ordre, où, entre deux en ioniens, il espace un finestrone semi-circulaire avec statue en mastic de Saint Sebastiano. Un dernier mentionne il est fourni par le tympan triangulaire.
Navata
La salle unique est agrandie sur les côtés de dua chapelles. En Corinthiennes avec des chapiteaux corniche dorée et riche ils nous rappellent le goût néoclassique prédominant à l'époque, (1830 - 40). La lumière pleut du cupolino central et du finestrone ample de façade. Les fresques du Toselli n'ont pas exigé d'iconografiche, mais motifs floraux prévalent.
Toiles
Du riche patrimoine de toiles qu'un temps ils se meublaient la Navata, et aujourd'hui ils ne sont pas disponibles parce que conservées malheureusement en dépôts de sûreté, Histoires de Saint Sebastiano, l'apostolat peut-être de G. Bruno, retiré de bienfaiteurs, etc., il est exposé un exemplaire seul à droite de la balustrade qui représente la Nativité.
Les tableaux de la rue Crucis sont d'A. Berger (1875).
Statues
Riche est le trousseau de statues à témoignage des différentes dévotions pratiqué par la Confrérie. En controfacciata, d'ici niches vitraux trouvent Sant'Antonio de Padoue et Saint Giovanni Bois. Près de l'entrée elles sont placées les deux statues en bois processionnelles sec. XVIII, de Saint Sebastiano et de la Sainte Vierge du Carmine. Près des balustrades des autels latéraux ils sont: Saint Giuseppe avec du Jésus enfant et Sainte Teresina, à droite:
Sainte Rita de Cascia et Sant'Espedito, à gauche.
Chapelle de Sant'Anna
D'ici le néoclassique elle est placée la toile de Sant'Anna d'anonyme de Neuf-cents,: le titulaire représente avec Maria Adolescent, Saint Gioacchino et Sainte Caterina d'Alexandrie. La statue de Sainte Dionisia est placée sous la cantine de l'autel. À l'abri du mur latéral, un beau baroque confessionnel.
Presbytère
À la partie les défoncements latéraux du choeur, la structure est encore celle de sec fin. XVI, et il se détache de le point de vue stylistique nettement de la nef. Les décorations fastueuses de la fois ressautent pour chromatisme et effets scéniques: sur les comédies architectures de P.A. Puits prorompe dans une allégresse d'anges et saints la Gloire du Paradis, pour main du cuneese A. Trône.
Dans les panaches les quatre Évangélistes sont représentés avec leurs symboles. Oeuvre de G.A. Molineri (1628, ils portèrent dans notre zone le nouveau vent des expériences romaines de l'auteur: le corposità des illustrations, le je drape des vêtements, le geste vigoureux ils rappellent leçons michelangiolesche et ils dépassent la saison de la peinture gothique qui s'était répandu avant en nos églises et chapelles jusqu'à les peu décennies définitivement.
Choeur
Le même Molineri, dans la pelle de l'altar le plus grand (1626) offre y par contre un exemple de combien appris par lui des toiles du Caravaggio: les illustrations sont modelées par la lumière, et ils se découpent sur le fond sombre en ressautant avec grande force sur l'absence de paysage. La scène représente les deux Saints Sebastiano et Giacomo aux côtés du Crucifix, avec deux confrères encapuchonnés et anges. Une copie du dix-neuvième siècle de cette pelle fut réalisée par le Vinay pour la confrérie de Saint Sebastiano d'Échafaud il Débouche.
La place du presbytère est séparée par le choeur d'éléments de balustrade en bois, témoignages probables de la vieille balustrade de début Six-cents remplacé à la moitié du sec. XVIII de l'actuel, en marbres polychromes.
Chapelle du Carmine
Quatre colonnes corinthiennes et le tympan sur l'autel renferment le groupe statuaire du dix-neuvième siècle de la Sainte Vierge du Carmine en mastic,: la Sainte Vierge soutient Jésus Enfant conformé par anges en prière. La toile des Âmes du Purgatoire est oeuvre d'I. Cocordano (1884).
Aussi cette chapelle est dotée d'un baroque confessionnel.
Tribune
Et' un exemple rare de tribune aux deux étages, l'inférieur pour la maîtrise et le supérieur pour l'organe, oeuvre de C. Serassi (1878)
CRÉDITS
Réalisateur: Gianluca de Angelis
Post-Production: TEKLA TV
Copywriter et recherches: Laura Marino
ORGANISMES DE FINANCEMENT
ROTARY CLUB Cuneo 1925
REMERCIEMENTS
Don Luca Favretto